Il existe des médecins sexologues et des sexologues non médecins (lesquels n’examinent pas les patients et ne peuvent prescrire de médicaments). Dans tous les cas, le ou la sexologue est un·e professionnel·le qui dispense informations et conseils en matière de sexualité et accompagne ses patients vers la résolution de leurs difficultés sexuelles.

Le métier de sexologue clinicien ne s‘improvise pas et réclame une formation universitaire spécialisée conjuguant la maîtrise de savoirs pluridisciplinaires, de savoir-faire et savoir-être dans la prise en charge et le traitement des dysfonctions sexuelles.

La profession de sexologue n’est pas réglementée. Pour choisir son ou sa thérapeute, mieux vaut donc vérifier qu’il ou elle a effectué une véritable formation universitaire en sexologie. L’appartenance à une société professionnelle est également un gage de sérieux.

C’est une méthode élaborée par le Docteur François de Carufel et le Professeur Pascal de Sutter. C’est une synthèse très pratique des enseignements de l’école sexocorporelle, fondée par le canadien Jean-Yves Desjardins, et de l’approche cognitivo-comportementale.

Elle s’appuie sur des techniques précises pour aider les patients à retrouver une sexualité fonctionnelle et satisfaisante. Son objectif est la résolution rapide des difficultés, afin de redonner confiance et estime de soi dans la sexualité. Elle s’applique aux difficultés féminines comme masculines, par exemple l’éjaculation rapide ou retardée, le vaginisme, les dyspareunies, les difficultés à atteindre l’orgasme, etc.

Elle est particulièrement efficace dans le traitement des personnes souffrant d’éjaculation prématurée. J’utilise cette méthode dans mon approche de la sexologie à Strasbourg.